Un domaine de premier niveau géographique, aussi appelé geographic top-level en anglais ou geoTLD, doit clairement se focaliser sur un ensemble géographique, géopolitique, ethnique, linguistique ou culturel (comme par exemple .quebec, .corsica, .eus, .brz, etc.). Ainsi, il est possible d’utiliser ces nouveaux geoTLDs pour associer un domaine, ou le contenu et les utilisateurs d’un site web, à un marché de recherche régional et/ou local.
C’est déjà le cas pour les domaines de premier niveau national, aussi appelés country-code top-level-domains ou ccTLD. En effet, Google considère dans son algorithme les top-level-domains locaux comme des critères importants de géociblage. En utilisant un ccTLD (comme par exemple .de, .ch, .at, etc.) Google est averti que le site web se focalise sur un pays spécifique et est spécialement conçu pour un public de ce pays.
Comment Google évalue-t-il les geoTLDs ?
Les geoTLDs peuvent atteindre un certain degré d’influence, s’ils sont utilisés par suffisamment de personnes pour que Google puisse récupérer des informations fiables. Dans ce cas, Google apprend à gérer ces nouveaux suffixes de domaine.
L’attribut hreflang pour un SEO international
Dans notre guide hreflang pour un SEO international, vous pourrez découvrir tout ce qu’il faut savoir sur la bonne gestion de Google et des sites web multilingues. Exemple : évitez le contenu en doublon et apprenez à utiliser l’attribut de lien hreflang de manière optimisée.
Vidéo explicative de Matt Cutts sur le sujet
Comment Google traitera-t-il les nouveaux TLDs ?
Comment Google traitera-t-il les nouveaux TLDs où tous les domaines de premier niveau sont possibles, comme par exemple ww.portfolio.lenomdemonentreprise pour les sociétés ? Quelle sera l’influence sur le classement et le PageRank ? Découvrez les explications de Matt Cutts sur cette vidéo.